Le
conseil d'administration vous présente ses voeux les meilleurs pour une belle
année qui permette enfin à la raison de l'emporter, une
véritable écoute des besoins et attentes des citoyens, pour des projets urbains
véritablement concertés, respectueux du patrimoine naturel et historique...
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SQUARE
LÉON JOUHAUX,
LE
MAIRE BÉTONNERAIT-IL
« A
L’INSU DE SON PLEIN GRÉ » ?
Dans
le journal municipal de janvier 2020, p. 6, on lit : « La future halle ; en phase préparatoire ...
Les opérations préalables nécessaires aux travaux de structure du futur marché
couvert continuent en ce début d’année. Déviation des réseaux et préparation de
la plateforme de travail ! »
DE QUI
SE MOQUE-T-ON ?
Après
le massacre des arbres en septembre,
les travaux ont bien commencé !
L’excavation du parking de deux niveaux
est réalisée à plus de 70% !!!
Photos à l’appui, envois de courriers
avec AR au maire, interventions au Conseil municipal, cela fait plus de deux
mois que les l’Hayssiens s’efforcent de faire reconnaitre au maire que les
travaux de Bouygues pour la construction de la « Halle des saveurs » sont bel et bien commencés. Et ce, en
dépit du recours contentieux déposé le 7 novembre 2019 devant le Tribunal
Administratif de Melun !
Déclarations en conseils de quartier,
articles dans 94 Citoyen et dans le journal de la ville (décembre et janvier
2020), à chaque fois, le maire affirme de façon catégorique « que les travaux n’ont pas commencé et qu’il
ne s’agit que d’une phase préparatoire »
Or le constat, renforcé par les photos, montre que
l’excavation du futur parking de deux niveaux est réalisée à plus de 50%, et
que les murs en béton de la périphérie du parking (qui servent en même temps de
soutènement aux deux rues publiques) sont réalisés eux aussi à près de 60%.
Nous pouvons donc, hélas, affirmer que prétendre le contraire
est un mensonge !
CURIEUSE
CONCEPTION DE L’INFORMATION DES L’HAŸSSIENS…
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LUNDI 13 JANVIER 2020 – DES
CENTAINES DE M3 D’EAU POTABLE INONDENT LE CHANTIER ET LA CHAUSSÉE !
Une nouvelle piscine en construction à L'hay ?
Non, il s'agit toujours des travaux du futur marché pharaonique de la mairie !
Une canalisation d'eau a souffert de ces travaux, dont le maire prétend qu'il ne
s'agit que des travaux "préparatoires"
au futur chantier
La
partie Sud du chantier (le long de la rue Thirard) est complètement inondée. Le
passage piéton est impraticable.
Remontée
de la nappe phréatique ? Rupture de canalisations d’eau ?
5
techniciens du SEDIF (syndicat des eaux Région parisienne) étaient sur place
pour essayer de remédier au problème.
Le
permis de Construire prévoyait que l’entreprise devait déposer un dossier
technique détaillé pour exposer les conditions dans lesquelles elle pourrait
effectuer des opérations de pompage éventuelles. On est en plein dedans. Le
dossier est-il déposé en bonne règle ?
Pourquoi le maire n’en informe-t-il
pas les riverains, la population, ne serait-ce que pour la rassurer ?
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ENFIN
UN PANNEAU DE CHANTIER !
Ce même chantier,
commencé il y a plus de deux mois, et dument clôturé, au point que les parties
grillagées ont été fermées par des panneaux rigides : passez votre chemin,
braves gens, il n’y a rien à voir… vient de se voir doté d’un panneau de
chantier !
Et alors ? direz-vous,
voilà quelque chose de bien normal ! c’est d’ailleurs obligatoire.
Et oui, sauf que ce
chantier n’était pas équipé du fameux panneau ! et qu’il a encore une fois
fallu plusieurs courriers associatifs et l’intervention des élus de
l’opposition pour que soit enfin appliqué le droit du travail, plusieurs fois
rappelé au maire. Le monde à l’envers !
Mais n’allez pas
penser que pour autant le maire a pris la peine d’informer les riverains sur
les horaires et conditions de fonctionnement de ce gros chantier ;
dispositions pourtant dument exposées et donc rendues obligatoires par les
clauses du Permis de Construire.
Pas plus qu’il n’a
exigé de l’entreprise la réalisation d’un référé préventif garantissant la
reprise de dommages éventuels engendrés par le chantier !
Tout irait bien dans
le meilleur des mondes, si certains empêcheurs de tourner en rond « les opposants » ne mettaient pas des
bâtons dans les roues de notre bon maire qui pense tant à ses concitoyens
qu’ils ont été obligés d’aller porter plainte auprès du Procureur de la
République !
Question subsidiaire :
En
général, pour de grands travaux dans la ville, le maire affiche le montant des
travaux, comment ils sont payés, voire subventionnés, etc.
Ici,
rien !
Est-ce
parce qu’ils sont passés de 6,5 millions € annoncés à 10,2 millions € dans le
marché passé entre Citallios et Bouygues ?
Ou
est-ce parce qu’il ne s’agit effectivement pas d’un équipement de la ville,
mais d’une construction purement commerciale ?
Mais
alors, pourquoi ce marché est-il intégré dans la convention Ville /Citallios,
et fait-il l’objet de subventions de la ville à son aménageur ?
On
nage en pleine clarté !
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UNE
NOUVELLE IDÉE "BRILLANTE" DU MAIRE
Après avoir démoli
les maisons historiques des 17 et 17bis de la rue des Tournelles, patrimoine
inestimable de notre commune *, le maire a fait réaliser un parking
« provisoire » destiné à recevoir les voitures stationnant
actuellement sur les espaces du square Allende, afin de lancer sa brillante
opération d’abattage d’autres arbres et réaliser son Disneyland, destructeur de
la Roseraie
Et savez-vous comment
il envisage le fonctionnement de ce magnifique parking, quasi vide à ce
jour ?
Stationnement avec disque d’une durée maximum de 30 minutes !
Certes, il ne doit pas
faire souvent les courses ni faire la queue à la poste ! Ou aller visiter
un ami à la clinique ou faire ses courses, car celui qui y parvient en ½ h, (aller
/retour) est un champion.
Mais ne vous inquiétez
pas, si vous n’arrivez pas à faire vos courses, consolez-vous, vous aurez au
moins une prune….
*Le
« Diagnostique et Analyse de l’Etat initial de l’Environnement »,
pièce maîtresse de notre PLU, à la rubrique « Le patrimoine recensé au
titre de l’inventaire du CAUE », déclare :
« Les maisons de la rue des Tournelles
Le tracé de la rue des Tournelles, inchangés sur tous les
plans qui ont été retrouvés, est sans doute resté le même depuis le chemin
originel, voir depuis le moyen âge. Les maisons situées dans la partie la plus
étroite de la rue datent du XVIIIe siècle. Au début XXe on y trouvait tous les
commerces. Les maisons et petites fermes de la rue présentaient une bipartition
de leur espace arrière, avec une cour autour de laquelle s’organisaient les
dépendances agricoles, puis un jardin potager. Certaines de ces fermes
conservent leurs portes cochères caractéristiques des fermes de villages avec
leurs bornes chasse-roues. Parfois en lieu et place des dépendances agricoles
l’on retrouve des caves témoignant de l’ancienne activité viticole du
village. » …
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A L’HEURE DE L’URGENCE CLIMATIQUE, ON N’EN FINIT TOUJOURS
PAS DE BÉTONNER INUTILEMENT A L’HAŸ LES ROSES
Même
le long de la Bièvre, le maire fait couler le bitume : Encore des
centaines de m2 totalement imperméabilisés, seulement pour les 2
jours par an du marché de Noël.
Et
sans information, ni des riverains, ni du conseil municipal. Et qui
finance ?
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