URBANISME
Notre ville va connaître dans les dix années à venir un
développement important, lié à un certain nombre de facteurs internes et
externes : l’arrivée de la gare du métro « les trois communes »,
l’opération ANRU Villejuif / L’Haÿ-les-Roses, la constitution d’un pôle
tertiaire de première importance entre Villejuif-Aragon, Vitry-Chérioux et le
Grand Orly, le développement du site Campus-Grand Parc, et celui du Bassin
d’emploi de Rungis.
L’Haÿ-les-Roses possède également des atouts importants,
comme la Roseraie départementale, de renommée internationale, le site de la
Bièvre réaménagé, les 3 aqueducs qui la traversent.
Notre ville a donc besoin d’un projet urbain fort, permettant sa mise en valeur optimisée au
regard de cet ensemble de facteurs particulièrement puissants.
Ce sont des logements,
pour toutes les catégories de familles, mais aussi des pôles économiques, des
équipements sociaux et culturels forts, qu’il convient d’organiser tout au long
du grand axe Est-Ouest (Mairie-Gare du métro) qui permettra de lier les différents quartiers de la ville entre
eux et selon l’axe Nord Sud avec les grands pôles économiques qui entourent la
ville. Axe à travailler, dans une réflexion collective, avec l’ensemble des
modes de déplacements et l’organisation des espaces nécessaires au bien vivre
de la population.
Dans cette vision,
rien n’apparaît plus urgent que de donner la parole aux habitants !
Ouvrir des conférences,
des ateliers citoyens, où les uns et les autres pourront prendre connaissance
des données, apporter leur vision et donner leur avis. Suggérer des
propositions écoresponsables et socialement justes, pour concevoir la ville
d’un demain très proche : entre 5 et 10 ans !
LE PARC DEPARTEMENTAL DE LA ROSERAIE.
Dans cette vision
globale, et avec cette méthode participative, il importe de sauver la Roseraie
qui représente la principale richesse de l’Haÿ-les-Roses. Refuser bien sûr le
projet immobilier et commercial absurde que cherche à imposer le maire, et les
destructions de bâtiments et caves patrimoniaux, et au contraire, préserver et
redonner toute sa vigueur au parc Allende qui est constitutif des abords de la
Roseraie.
C’est la culture, le
patrimoine et la détente qui doivent constituer les trois axes de développement
de la place de la Roseraie et de ses abords, et non le commerce et l’immobilier
de luxe !
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